Les femmes du mouvement annoncent leur soutien indéfectible à leur secrétaire général Mohamed Ouzine et soulignent la responsabilité des médias.
La présidente de l’Organisation des femmes harakies, en son nom et au nom de toutes les femmes harakies, a exprimé un soutien total et inconditionnel à leur secrétaire général, Monsieur Mohamed Ouzine, face à toutes les tentatives de diffamation, de ciblage personnel et d’ingérence dans sa vie privée.
L’organisation a affirmé que le désaccord politique est un droit naturel et que la critique est permise, mais lorsque le débat se transforme en attaques personnelles ou en ciblage de la vie privée, cela constitue une déchéance qui ne sied pas à la culture marocaine et aux institutions du pays.
La présidente a souligné que Monsieur Mohamed Ouzine est un homme d’État franc et clair dans ses positions, et que son patriotisme n’est pas un slogan brandi en cas de besoin, mais un comportement, un chemin et une présence constante à tous les moments. Elle a ajouté : « Certains peuvent être en désaccord avec lui, c’est leur droit, mais personne n’a le droit de transformer ce désaccord en insulte ou en diffamation. »
L’organisation a poursuivi en déclarant que le Maroc traverse aujourd’hui un moment national délicat, après les souffrances causées par les inondations et la tragédie de l’effondrement des bâtiments à Fès, appelant à la cohésion et à la responsabilité plutôt qu’à des clameurs qui épuisent les énergies des gens. Elle a également rappelé que le pays est à l’aube d’un grand événement sportif continental, ce qui rend la réputation du Maroc aux yeux du monde une responsabilité nationale.
La présidente de l’organisation a conclu en appelant à une presse libre et responsable, indépendante et impartiale, qui respecte l’éthique professionnelle et la dignité des personnes, en plaidant pour un débat national franc sur les médias entre liberté et responsabilité, afin de garantir que la presse reste un pouvoir éclairant et non un outil de dénigrement.
Elle a déclaré : « Tout le soutien à notre secrétaire général et toute l’invitation à un discours qui élève notre pays, et ne le rabaisse pas. »
