Attaque contre Akhannouch : Une injustice politique sans précédent et des campagnes organisées pour le dénigrer.
Mohamed Chouki, président du groupe parlementaire Rassemblement nationale des indépendants à la Chambre des représentants, a qualifié de « grande injustice politique sans précédent » l’acharnement dont fait l’objet le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, de la part de certaines factions, notamment celles se revendiquant des expressions jeunesse.
Dans une publication sur sa page personnelle Facebook, Chouki a souligné que ces campagnes s’inscrivent dans une « diabolisation politique abjecte » visant à convaincre les Marocains qu’Akhannouch n’a pas le droit de participer à la vie publique.
Chouki a insisté sur le fait que les campagnes médiatiques qui attaquent le chef du gouvernement visent à déformer son image et à présenter ses réalisations comme des mensonges, critiquant ces campagnes organisées qui sous-entendent que toutes les mesures prises par Akhannouch ne sont que « du non-sens ».
Il a ajouté que cette forme de pression médiatique est terrible et vise à marginaliser le rôle du chef du gouvernement dans la gestion des affaires publiques.
Dans le même ordre d’idées, Chouki a critiqué les voix qui s’opposent à l’implication des hommes d’affaires dans la politique. Il a rappelé qu’Akhannouch avait choisi de s’engager dans la vie publique depuis plus de 20 ans, et bien que cette initiative ait été rejetée par certains qui estiment que les hommes d’affaires ne devraient pas occuper de postes politiques, il a souligné que les plus grandes démocraties du monde ont été dirigées par des hommes d’affaires, comme Donald Trump aux États-Unis, sans que ceux-ci ne soient victimes de campagnes de dénigrement systématiques comme celles dont souffre Akhannouch.
Chouki a ajouté que la cible d’Akhannouch réside dans son succès à mettre en œuvre la politique sociale de l’État au Maroc, notant que le bilan du gouvernement dans ce domaine montre qu’Akhannouch est un homme d’actions et non de paroles, même si l’impact de cette politique sur les citoyens reste encore variable à ce jour.
Pour conclure son propos, Chouki a appelé à la nécessité d’un juste jugement des efforts déployés par Akhannouch et son équipe gouvernementale pour améliorer la situation sociale au Maroc, affirmant que la campagne persistante contre le chef du gouvernement devrait être laissée aux tribunaux politiques, et non à la rue.
