Le président de l’Université Mohammed Ier dément les « allégations de scandale pédagogique » : des déclarations sans fondement.

Le président de l’Université Mohammed Ier d’Oujda a démenti, dans un communiqué officiel, les rumeurs circulant sur une prétendue « scandale pédagogique » à l’École nationale des sciences appliquées (ENSA) d’Oujda. Il a affirmé que les accusations selon lesquelles des étudiants ingénieurs auraient obtenu des diplômes sans passer d’examens ou assister aux cours sont totalement infondées et dépourvues de tout fondement réel.
Le président de l’université a également souligné que les informations publiées par certains médias reposaient sur des données erronées, sans aucun retour vers la direction de l’école ou communication avec la présidence de l’université, ce qui constitue une violation des principes du journalisme responsable.
Le communiqué a précisé que la mobilité internationale des étudiants ingénieurs s’effectue dans le cadre d’accords de partenariat avec des universités internationales, parmi lesquelles l’Université Paris Nord – La Sorbonne. Les étudiants sont soumis à des règles légales et pédagogiques strictes qui leur permettent d’acquérir des diplômes reconnus après avoir satisfait à toutes les conditions académiques.
Le président de l’université a également réaffirmé son engagement total envers toutes les clauses des accords internationaux signés depuis 2018, qui visent à renforcer la réussite académique des étudiants et garantir la qualité de l’enseignement.
Concernant les déclarations du président du groupe parlementaire du Parti de la justice et du développement lors d’une séance de questions/réponses, le président de l’université a indiqué que ces affirmations étaient erronées, insistant sur le fait que la mobilité internationale des étudiants constitue un des fondements de la réussite académique moderne et de l’utilisation des compétences académiques, point soutenu par le ministre de l’Enseignement supérieur lors de son intervention durant la séance.
En conclusion, le président de l’Université Mohammed Ier a fermement rejeté ces allégations, les qualifiant d’attaques visant à ternir la réputation de l’université et de ses programmes académiques, annonçant que l’université se réserve le droit de recourir à la justice contre ceux qui chercheraient à remettre en question la crédibilité de ses diplômes ou à diffuser des informations fausses.