L’élan international autour de la marocanité du Sahara : un couronnement de la vision sage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

Le dynamisme international croissant autour de la marocanité du Sahara est une illustration claire de la vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l’assiste, et un témoignage manifeste de l’efficacité de l’approche marocaine fondée sur la clarté, la fermeté et la crédibilité. Grâce aux orientations royales sages, le Maroc a réussi à transformer ce dossier d’un enjeu régional artificiel en une question de souveraineté nationale solidement ancrée et reconnue au niveau international, symbolisant davantage un modèle d’État stable et d’institutions solides qu’un conflit politique passager.
De l’isolement artificiel à la reconnaissance croissante
Au cours des vingt-six années de règne de Sa Majesté, le dossier du Sahara marocain a évolué d’un espace de doute à un espace de certitude internationale. La question n’est plus perçue comme un « conflit régional », mais comme une affaire légitime d’État et d’intégrité territoriale représentant un modèle de stabilité et de développement dans un environnement troublé.
Cette transformation profonde est le fruit d’un parcours diplomatique progressif et méticuleusement conçu, conduit personnellement par Sa Majesté, à travers des initiatives politiques, des actions économiques et des alliances stratégiques, engendrant ce que l’on pourrait appeler « la légitimité internationale marocaine », devenue aujourd’hui une référence tangible dans toutes les approches internationales et régionales du dossier.
Changement de position des grandes puissances : de la neutralité à un soutien explicite
Les manifestations les plus marquantes de ce dynamisme se sont matérialisées par un changement radical dans les positions des grandes puissances.
Les États-Unis ont été les premiers à reconnaître la pleine souveraineté du Maroc sur ses provinces du sud le 10 décembre 2020, considérant l’initiative d’autonomie comme le cadre réaliste et unique de solution. Ce positionnement a été confirmé par des messages présidentiels successifs, le dernier en date de 2025, réaffirmant l’engagement durable des États-Unis à soutenir l’unité territoriale du Maroc.
Quant à la France, elle a opéré en 2025 un passage de l’ambiguïté tactique à la clarté stratégique, avec l’annonce par son président que « le présent et l’avenir du Sahara s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine », ouvrant ainsi la voie à une transformation européenne globale dans le même sens.
L’Espagne, l’Allemagne, les Pays-Bas, le Portugal et la Belgique ont suivi cette tendance, affirmant leur soutien explicite à l’initiative d’autonomie et considérant le Maroc comme l’acteur le plus équilibré et le plus crédible en Afrique du Nord, garant de la sécurité européenne face aux défis de la migration, du terrorisme et de l’instabilité au Sahel.
Le leadership marocain en Afrique : de l’isolement au partenariat
Avec le retour du Maroc à l’Union africaine en 2017, le dossier du Sahara a amorcé une nouvelle phase marquée par le leadership et le développement continental. Le Maroc a réussi à faire tomber l’isolement artificiel et à redessiner sa présence sur le continent, fondée sur des partenariats économiques et des projets de développement tangibles.
Aujourd’hui, l’entité séparatiste ne bénéficie que d’un nombre limité de reconnaissances, la majorité des pays africains ayant retiré leur soutien. En revanche, l’ouverture de plus de trente consulats à Laayoune et Dakhla entre 2019 et 2025 a constitué une reconnaissance claire sur le terrain de la souveraineté marocaine et une manifestation tangible du soutien de l’Afrique à la position marocaine.
Évolution du discours onusien vers le langage marocain
Au niveau des Nations Unies, l’évolution dans le langage même des résolutions du Conseil de sécurité est palpable, notamment depuis 2018, avec l’abandon définitif du terme « référendum » au profit d’expressions inspirées de l’approche marocaine, telles que « la solution politique réaliste, pratique et durable basée sur le consensus ».
Dans la résolution numéro 2756 (octobre 2024), le Conseil a évoqué pour la première fois « l’élan positif actuel », un aveu implicite du succès du cheminement marocain, tout en stipulant clairement que l’Algérie est une partie directement impliquée dans le conflit, mettant ainsi fin à l’illusion de la « neutralité algérienne ».
La diplomatie de terrain : quand le développement parle la langue de la souveraineté
La reconnaissance internationale ne se limite plus aux positions politiques, elle se manifeste également à travers des réalités économiques et de développement. L’ouverture des consulats et le lancement de grands projets à Dakhla et Laayoune ont fait de l’économie un nouvel outil diplomatique pour ancrer la souveraineté.
Les entreprises mondiales opérant dans les secteurs de l’énergie, de la logistique et de la pêche ne considèrent plus le Sahara comme une zone de conflit, mais comme une région marocaine stable soumise à la loi nationale. Ainsi, le développement est devenu une traduction concrète de la reconnaissance politique.
Un élan international fruit d’une vision royale préventive
L’élan international actuel n’est pas le fruit du hasard, mais le résultat d’une vision royale à long terme, caractérisée par le graduel, le réalisme et la cohérence entre les discours et les actes.
Grâce à un effort diplomatique accumulé, le Maroc a réussi à transformer la position internationale d’une reconnaissance formelle à une conviction profonde, et de la courtoisie diplomatique à une véritable adhésion à l’idée que l’initiative d’autonomie est la seule solution réaliste et durable.
De la reconnaissance à l’ancrage
La marocanité du Sahara n’est plus aujourd’hui un sujet de débat, mais un point de départ fixe pour toute réflexion sur l’avenir de la région.
Le Maroc, sous la conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a réussi à faire de la justice de sa cause un consensus international partagé par les capitales et les organisations internationales.
Ainsi, la vision royale éclairée est devenue un modèle mondial dans la gestion des conflits régionaux et une référence pour la construction de la stabilité et de la coopération dans les espaces africain et atlantique.




