L’Union générale des entreprises et des métiers étend sa présence sur le terrain pour renforcer la voix des professionnels et soutenir les petites entreprises.

Sous la direction de son président national, Moulay Ahmed Afila, l’Union générale des entreprises et des métiers poursuit la mise en œuvre d’un programme ambitieux à travers les différentes régions du Royaume, dans le cadre d’une dynamique organisationnelle continue visant à écouter les préoccupations des professionnels et à défendre leurs demandes légitimes, tout en renforçant la présence de l’Union en tant qu’acteur économique et proposeur sur la scène nationale.
Ces initiatives s’inscrivent dans un contexte national marqué par des défis économiques croissants, dont les conséquences touchent particulièrement les petites entreprises, les artisans et les professionnels. Cela rend d’autant plus urgent le besoin de proximité et d’écoute directe pour diagnostiquer les véritables contraintes et formuler des demandes réalistes susceptibles d’être portées devant les autorités compétentes.

Dans ce cadre, l’approche de l’Union, fondée sur la communication directe avec les professionnels, reflète une réelle volonté de redonner ses lettres de noblesses au travail professionnel encadré, et de donner la parole aux petits et moyens acteurs économiques, qui constituent l’épine dorsale du tissu économique national, et contribuent de manière significative à la création d’emplois et au dynamisme du développement au niveau local et régional.
La direction nationale de l’Union vise également, à travers ces tournées, à renforcer les structures régionales et locales, à unifier les professionnels et à améliorer la coordination entre les différents secteurs regroupés sous l’égide de l’Union, afin d’assurer une plus grande efficacité dans les plaidoyers, une force dans la représentation et une capacité d’influence sur les politiques publiques relatives aux petites et moyennes entreprises.
Les observateurs du secteur professionnel soulignent que cette dynamique de terrain représente un tournant qualitatif dans la manière de travailler au sein des syndicats et des professions, car elle passe d’une logique de réaction à une logique d’initiative, et d’un centrage administratif à une présence effective sur le terrain, renforçant ainsi la confiance entre l’Union et ses bases, tout en ouvrant de nouvelles perspectives pour l’encadrement, le soutien et l’accompagnement.
Ces initiatives devraient donner lieu à une série de propositions concrètes et de recommandations sectorielles, axées sur la réalité quotidienne des professionnels, en vue de les soumettre aux autorités concernées et de contribuer à l’élaboration de politiques publiques plus équitables et efficaces en faveur des petites entreprises, considérées comme un levier essentiel pour un développement inclusif.




