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Un responsable de la justice : Les actes de vandalisme et de violence n’ont rien à voir avec la liberté d’expression et sont passibles de lourdes peines de prison.

Ahmad Wali Alami, président du pôle des affaires publiques et de suivi de l’exécution de la politique criminelle à la présidence du ministère public, a affirmé que les actes de vandalisme, d’incendie et de violence sont des crimes qui n’ont aucun rapport avec la liberté d’expression, et qu’ils sont punis par le Code pénal par des peines de prison lourdes.

Dans une déclaration à l’Agence Maghreb Arabe Presse, Ahmad Wali Alami a précisé que « les actes de vandalisme, d’incendie et de violence qui ont visé des biens publics et privés et qui ont causé des dommages corporels aux personnes suite à des manifestations non déclarées n’ont aucun lien, sous quelque forme que ce soit, avec la liberté d’expression. Ce sont des actes criminels punis par le Code pénal par des peines qui varient entre 10 et 20 ans de prison, pouvant aller dans certains cas jusqu’à 30 ans, voire à la réclusion à perpétuité en cas de circonstances aggravantes. »

Le responsable a insisté sur le fait que ces événements portent principalement atteinte à la sécurité des citoyens et à leurs biens, et que la loi doit être appliquée avec rigueur dans ce cadre pour protéger leur sécurité et leur tranquillité.

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