Journalisme arabe et international : La décision royale face aux défis climatiques et économiques difficiles.
Le décret du roi Mohammed VI annulant le rite du sacrifice de l’offrande pour l’Aïd al-Adha en 2025 a suscité un vif intérêt de la part des médias arabes et internationaux. La presse a abordé cette décision sous différents angles, en mettant l’accent sur ses raisons et ses conséquences.
Les couvertures médiatiques ont souligné que la décision royale était une réponse aux conditions climatiques et économiques difficiles que traverse le Maroc, tout en insistant sur l’importance de préserver le cheptel animal et d’alléger les charges financières des citoyens, notamment ceux à revenus modestes.
Al Arabiya : La chaîne a rapporté que le roi Mohammed VI a appelé les Marocains à s’abstenir de sacrifier les offrandes cette année, justifiant cela par les défis climatiques et économiques ayant entraîné une forte baisse des effectifs de bétail.
Russia Today (RT Arabic) : La chaîne a indiqué que le Royaume du Maroc a officiellement annoncé l’annulation du rite du sacrifice de l’offrande pour cette année, en raison de la pénurie sévère de bétail, dans le but de protéger le cheptel national.
Sky News Arabia : Elle a souligné que ce n’est pas la première fois qu’une telle décision est prise au Maroc, rappelant que le roi défunt Hassan II avait déjà recommandé de ne pas procéder au sacrifice des offrandes en 1963, 1981 et 1996 pour des raisons similaires.
Huffington Post : Le média a mis en avant que le roi Mohammed VI a demandé aux Marocains de renoncer à célébrer l’Aïd al-Adha cette année, en raison des défis climatiques et économiques, notamment la sécheresse ayant impacté le secteur de la production animale et entraîné une diminution de l’offre de viande.
Al Sharq Al Awsat : Le journal a rapporté que le souverain marocain a appelé ses concitoyens à renoncer à la pratique de l’offrande pour cette année en raison de la forte baisse des effectifs de bétail due à la sécheresse sévère que connaît le Royaume depuis sept ans consécutifs.
